Jeudi 3 - Grande Scène et finale tremplins SOIRÉE GRATUITE - PLACES LIMITÉES -
BILLETS DANS LES DIFFÉRENTS OFFICE DE TOURISME
OUVERTURE DES PORTES À 17 H 00
Ce jour d'ouverture du festival est consacré à la finale des tremplins.
Nous avons, cette année voulu donner encore plus de chance aux jeunes groupes.
Nous avons donc pris le parti de faire la finale sur le lieu du festival avec la présence d'un jury de grande qualité composé par des professionnels du monde de la musique, comme André Manoukian, Philippe Manœuvre, Louis bertignac, M. Oberson président de la fondation2 du festival de Montreux, Patrick Allenbach chroniqueur Rock à la TSR, Yannick Robert etc.
A la suite des tremplins qui viennent de se terminer au Repaire des Ours au Fayet,
voici la liste des finalistes qui se rencontreront sur le festival pour espèrer obtenir la première place et ainsi jouer sur la grande scène.
Victori4 - Matches - Black out - Red Castle Addiction
Pour clore cette soirée :
SRV TRIO (Tribute Steve Ray Vaughan)
20h10 à 21h10
Trio blues monté par Roland Créa, directeur artistique de GES. Tribute de Steve Ray Vaughan, guitariste texan.
BERTIGNAC - ROCK
21h30 à 23h15
Est-il encore nécessaire de le présenter ? On l’associe principalement au célèbre groupe «Téléphone » mais depuis quelques années on l’acclame également pour ses talents de compositeur, arrangeur et interprète. Longtemps, Bertignac s’est couché de bonne heure, au petit matin, après une nuit blanche passée à chercher de nouveaux riffs sur sa Gibson SG. Et il a mis au monde “Longtemps”, son nouvel album, son meilleur, le plus tendre et le plus intimiste qu’il ait composé et produit.
Entre “96” (son dernier album solo) et “Longtemps”, il s’est déroulé neuf ans, une paye, toute une vie ou presque. “Et j’ai pas mal glandé.” Dans le langage bertignien, “glander” signifie sortir un double live (en 98), trouver la femme de sa vie, donner quelques concerts à Tahiti et au Népal, tenter de reformer Téléphone, produire l’album de Corinne Marienneau, devenir papa d’une adorable petite Lola, réaliser l’album de Carla Bruni, éclatante réussite artistique et commerciale (deux millions
d’exemplaires vendus), écrire “Longtemps”, bref, en faire dix fois plus que n’importe qui, poussé par le seul moteur qui ait jamais guidé son existence : le plaisir. “Je me suis aperçu que la vie était courte, alors je veux que la mienne soit belle, merveilleuse. Et je crois que ça me réussit plutôt de me la jouer tranquille.”